Le reiki: me reconnecter à mon corps en douceur

J’ai été initiée au premier degré en 2001, puis au deuxième degré en 2007. Mon rapport avec le REIKI n’a pas toujours été simple même si c’est clairement un plus dans ma vie et cela ne m’a apporté que du bonheur.

J’avais une pratique souvent erratique lors de mes années « premier degré ». La raison était que me faire du bien était loin d’être une évidence pour moi, j’avais du mal à accepter, à me dire que je méritais de me sentir bien. Ce manque de confiance en moi est un des (nombreux) symptômes de la boulimie dont je souffre. Je tiens à en parler ici parce que cette maladie est surtout liée à la négation du corps, qui est considéré comme un ennemi qu’il faut faire plier coûte que coûte. J’ai compris cela en thérapie, mais c’est grâce au REIKI que j’arrive petit à petit à me recentrer, à me reconnecter à mon corps en douceur.

Je vais beaucoup mieux maintenant et le REIKI s’impose comme une évidence.

Le deuxième degré c’est mettre un turbo dans le moteur, les perceptions deviennent plus claires, plus fines aussi. Evidemment ce turbo booste tout en même temps et parfois c’est un peu difficile à gérer, et c’est là que j’ai appris à me poser et ne pas me laisser emporter. Pourquoi ? parce que j’ai confiance et conscience que tout se qui arrive n’est là que pour me montrer le chemin, mon chemin. Je reçois souvent des messages et de ce fait, le « hasard » prend une toute autre saveur !!! La vie prend soin de moi et je la laisse faire avec bonheur.

J’ai aussi pris conscience de l’immense richesse d’amour dont je suis entourée : ma famille, mes amis, la nature qui m’entoure et même mes collègues de travail ! Je ne courre plus après l’amour, parce que finalement il est tout autour de moi, et croyez moi, c’est un gros stress en moins au quotidien !

Julie

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