Le reiki, perplexe au départ et conquis à l’arrivée par Tristan

La première fois que j’ai entendu parlé du Reïki c’était il y a plus de 5 ans. J’étais convié a une mariage par une amie qui connaissait bien les mariés. La mariée était initiée au premier ou deuxième degré au ReiKi et s’apprétait à passer le degré supérieur. Mon amie voulait s’initier et elle m’expliqua comment cela se passe… Je sentais une espèce de gros business avec une inflation des coûts de degré en degré.
Pendant le mariage, la gentille mariée était complètement à l’ouest, déjantée, ivre morte, à moitié hystérique.
Elle avait pris l’habitude de harceler mon ami au téléphone…
Bref un drôle de personnage.
Wouahh, cela donne ça le Reïki…
J’étais perplexe, j’en parlais à mon prof d’Aïkido qui me donnait un son de cloche sur le Reïki un peu fêlée aussi. Pourtant une petite voix me disait que je n’avais pas tout vu… Que la croute un peu séchée que j’avais percu n’avait pas atteind le coeur.

Et puis un jour, j’ai rencontré Marie-Lore, un vrai maître. Oh peut-être pas par le côté spectaculaire de ce que l’on pourrait croire et avoir envie d’attendre d’un maître. Mais plus par sa simplicité et son respect de l’humain et du Reïki.

En fait Marie-Lore, tu es un maître Reïki remarquable car avant de te servir toi-même, il me semble bien que tu serts le Reïki, tu es au service de la diffusion de cette art si simple et si noble dont il serait idiot de faire des mystères et des cachoteries mercantilo-ésotériques. Tu es un maître parce que tu offres le Reïki avec les plus belles pensées et toutes tes décisions n’ont que pour but de servir l’humain et de le préparer dans les meilleures conditions possibles.

Le Reïki est un outil merveilleux, il vient nous chercher quand c’est le moment, moi il m’appelle au petit jour, et le Reïki à travers Marie-Lore, c’est une outil pur dans une coeur pur

Elle est pas belle la vie !

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